Séminaire Dubreil. Algèbre et théorie des nombres W OLFANG K RULL Sur quelques extensions algébriques infinies Séminaire Dubreil. Algèbre et théorie des nombres, tome 16, no 2 (1962-1963), exp. no 26, p. 1-21 <http://www.numdam.org/item?id=SD_1962-1963__16_2_A12_0> © Séminaire Dubreil. Algèbre et théorie des nombres (Secrétariat mathématique, Paris), 1962-1963, tous droits réservés. L’accès aux archives de la collection « Séminaire Dubreil. Algèbre et théorie des nombres » implique l’accord avec les conditions générales d’utilisation (http://www.numdam.org/legal.php). Toute utilisation commerciale ou impression systématique est constitutive d’une infraction pénale. Toute copie ou impression de ce fichier doit contenir la présente mention de copyright. Article numérisé dans le cadre du programme Numérisation de documents anciens mathématiques http://www.numdam.org/ 26-01 Séminaire DUBREIL-PISOT (Algèbre et Théorie des nombres) 16e année, 1962/63, n° 26 27 et 28 mai 1963 ALGÉBRIQUES SUR QUELQUES EXTENSIONS 10 Pour nous expliquer Ka (resp= N ) le corps prendrons Résumée idées fondamentales nos KRULL Wolfang par en INFINIES français. sur un aussi exemple simple que pcssible, briques). K désignera un corps quelconque compris entre h 0 étudier systématiquement les sur-corps infinis K de K , on dier la structure du se plus grand résoluble M corps N . Si l’on veut et part étuD’autre part, on doit sur doit d’une demander comment obtenir des énoncés concernant la structure de le deuxième descendant problème, il est plutôt qu’en ses conjugués cas tion est ou qui suit, ce première une effet, pour le corps de Hensel toujours servation suivant F. K. SCHMIDT nous aux appellerons Z classe de chaque valuation correspondant (sur R-corps. Si l’on veut sortir suivante indique une voie possible. un v M . Dans procéder en lesquels N luiR-corps. Ab- réels et de algébriques est fournie par la théorie le corps de de un corps de base K des classes de corps de On sur de corps des ces R-corps N [3], sur corps trivial du corps de tous les nombres sur de la valuation. En en montant et de s’intéresser même est résoluble. Dans straction faite du naturel; (resp. algé- de tous les nombres rationnels connaît, décomposi- quelconque) Hensel, l’ob- corps de Hensel Z, propriété suivante soit v Z la restriction à Z de la valuation v de ï~ ~ chaque valuation Vz de Z , différente de est "saturée", c’est-à-dire que l’extension v’ de la valuation Vz à N n’augmente ni le corps des restes, ni le pour un la groupe des valeurs. Or tion Zl n .ee n les restrictions toutes discrètes, constate que cette remarque se laisse étendre à l’intersecd’un nombre fini de corps de Hensel, à condition de supposer que vK,i , au corps de base K , des valuations v des Z sont on Zn ce qui est toujours étudier de plus près les corps sur rées. Ah vrai dire, cette recherche qu’à des pas des résultats négatifsô R-corps, le cas lesquels ne pour K = K . On est alors conduit à presque toutes les valuations sont satu- conduit guère, quant au problème il est facile de construire des corps bien que toutes leurs K des qui R-corps, ne sont valuations, à l’exception de n d’entre elles, soient saturées ( n pouvant même être égal à 0 ~ ~ Cependant la généralisation d’une méthode connue pour la construction de polynômes à coefficients entiers et à groupe symétrique ou alterné, fournit, au moins, des conditions nécessaires auxquelles doit satisfaire le corps des restes de la valuation d’un R-corps. Mais avant tout, on peut opposer au théorème que, sur un corps de Hensel Z et sur tous les surcorps de Z 9 toutes les valuations, sauf une au plus, sont saturées, le théorème suivant : si K luation de telles que tions non n’est pas K non saturée, corps de Hensel et s’il existe alors il existe (i chaque corps saturées, un tandis que sur toujours 0 , 1, ...) chaque corps = toutes les valuations sont saturées. On constate téressantes surprises on doit s’attend,re dans possède une infinité (i 1 , 2 , ...) de valua- presque = sur un étude à exemple, in- quelles systématique des extensions démonstrations, est un lemme algébriques infinies. Le moyen décisif, dans toutes les connu d’après lequel, étant donné un corps K 9 il existe toujours ... , v gébriques finis L sur lesquels n valuations posent d’une manière donnée d’avance, dès qu’il saturée vK de K différente des une va- des suites ici, une moins au existe seulement des sur-corps al- de K se décom- valuation une non vK,i . R-corps, c’est la théorie de Galois et non la théorie des valuations qui fait faire un pas essentiel. On peut définir, dans le groupe de Galois G de N sur K, des p-groupes de Sylow, et étendre à G les théorèmes de Sylow de la théorie des groupes finis. Du point de vue de la théorie des corps, il en résultes pour chaque nombre premier p 9 il existe toujours entre K Dans l’étude du N et P est un des Sylow p-corps de un K . sur problème P . Ces corps sont tous p-corps de Sylow sur K conjugués les uns des autres si et seulement si les deux conditions suivantes sont réalisées : (a) Tout sous-corps de P 9 fini sur K 9 a (b) Chaque sous-corps de ~~ 9 fini sur P , de un degré sur admet pour K degré non sur divisible par P une p; puissance p . Tout corps corps Q, compris entre d’un p-corps de Sylow P finis sont résolubles, K . et Enfin, que tous les qui vérifie la propriété (b) il résulte du fait que tous les p-corps de Sylow sont des est sur- p-groupes R-corps. Naturellement, on étudie ensuite de plus près les relations entre les p-corps de Sylow et les corps de Hensel et ceci, d’abord pour I~C et M . Dans le cas du corps on constate qu’aucun p-corps de Sylow n’est corps de Hensel, mais aussi, inversement, qu’aucun corps de Hensel ne peut contenir un p-corps de Sylow. Ici, ce sont des considérations luations qui jouent un les groupes des valeurs et le corps des restes des varôle essentiel. On obtient un résultat tout à fait simple en sur prenant comme corps de base le plus grand corps M résoluble sur Du fait que sont saturées et que chaque nombre premier p a, dans M une valeur positive, résulte facilements sur une infinité de valuations de aucun p-corps de Sylow n’est un corps de Hensel ; chaque p-corps de Sylow est souscorps d’un corps de Hensel, et chaque corps de Hensel est, pour un nombre premier p p-corps de Sylow. déterminée un sur-corps toutes les valuations de M plus important est peut-être la remarque suivante ~x dans l’étude des R-corps, il vaut mieux prendre, a priori, M comme corps de base. On a alors seulement à faire avec des valuations saturées, et on ne risque pas d’attendre trop de la théorie des valuations. Par contre, on voit que l’importance de la théorie des valuations ne doit pas non plus être sous-estimée car elle pose un problème important pour les travaux ultérieurs, celui de la recherche précise des rapports entre les corps de Hensel et les p-corps de Sylow sur M . Remarquons du reste que nos considérations conduisent aussi à des questions concernant la structure de M sur Le résultat le KO . Il K~ et du ne serait M des "suites sans doute pas sans remarquables type précédemment décrit. de intérêt de chercher s’il existe corps" déjà entre ~:~‘~°~~~-~~~.~ en ~1~ H,-..w.~’,. Um unsere Grundgedanken am einfachsten Beispiel zu erläutern, wählen wir für bzw. den Körper aller rationalen bzw. aller algebraischen Zahlen. sei irgendein Körper zwischen and Will man unendliche Oberkörper von systematisch untersuchen, so wird man einerseits den Aufbau des größten über auflösbaran Körpers studiere müssen. Andererseits wird man sich fragen, wie man zu Aussagen über den Aufbau von N über N kommen kann. Bei dem zweiten Problem liegt der Oedanke nane, nach dem Vorbild von F.K. Schmidt (Sitz.Ber. Heidelcerger Akud.Wiss. 1938) gewissermaßen von oben statt von unten aus anzufangen and sich für solche Körper zu interessieren, uber denen N selbst suflösbar ist, d.h. über denen jederendliche 1~ ~~I wi,. ) , Normaloberkörper eine auflösbare Galoisgruppe besitzt. Wir wollen derartige .. t M .~. 3 i..C ~ .i,. ‘w i } ~.: .r i ~n ir .1 ,.J v .... ‘w. e-l,..f, b w ...’ . :r4 .~t.i x.i .: ~V ;.ri. .5., .~ .i". j~^ J .;. v. ~~ s.4 4.. 3":.. 6,) .:. ii G ai l : T.y "~,..i:.I 4Y tW .,1...,i,.:s . d ir= ~. ‘,..’r.l., G’ ~‘ Körper im Folgenden kurz als R-Körper tezeichnen. Abgesehen von dem Trivial- fall des körpers aller reellen algebraischen Zaalen une der zu ihm über konjugierten Körper wird eine srsts Klasse von R-Körpern durch die Bewer- tungstheorie geliefert. Denn für gede bewertung v von N ist der (über einem beliebigen Grunikörper K gebildete) Zerlegungs- oder Henselkörper Z stets ein R-Körper. will man über die Klasse der Henselkörper hinauskommen, sc scheint zunächat die folgerde Beobachtung einen Weiterweg zu weisen: Bei einem Renselkörper Z weiß man: Let vz die Restriktion der definierenden Sewertung v von N , so ist jede von vz verschiedene Bewertung v’z von Z abgesättigt, d.h. es wird bein Übergang zu einer Fortsetzung v’ von v’z auf N weder die Wertgrape noch der Restklassenkörper vergrößert. Es zeigt sich i.‘,w,.;;~ f‘‘’,W..~.°/’~" r"~ .’ ’.,S’r.. ay~ , rw.., . i ‘ .... i:-s-~r. ._y,...,.~..T_. B~ a ,... v ~r-,,y Verallgemeinerung mit Polynôme denen die einer bekannten Méthode Restklassenkörper auchbei aller;. nahme Oberkörpern Henselkörper, gesattigt. Sa tz, daß 2 von und Bewertungen besitzt, Bewertungen abgesättigt fur licher merkwürdigen notwendige Bedingungen, da-s Henselkörper Z bel einem allé und damit mit höchstens einer Aus- Bewertungen folgende Theorem gegenüberstellen: (i=1,2,...) während bei jedem sind..... Es Körper beim man an einem fallen, falls es wertung vk von mit systematischen Studium unend- rechnen muB. Das entscheidende zu einem L existie- vk, nu.r e.irie den von verscL..ieaene, . nicht zer- abgesättigte Be- K gibt. Bei dem Problem der R-Körper führt nicht die Galoistheorie eilien gruppe G fast allé Beispiel, K stetsendliche algebraische Oberkörper vk,1,..., n von K in vorgegebener Weise n abgesättig- (i=1 ,2,..) L21 sich hier zeigt Überraschungen unendlich viele nicht Hilfsmittel bei allen Beweisen ist ein bekanntes Lemma, nach dem ren, in denen Es sei Bewertung von nicht abK = L ~ L1 ~ L 2 ~ L3 ~ ... algebraischer Körpererweiterungen gegebenen Grundkörper müssen. sei mindestens eine es L2i+1 jeder Körper Gruppe ganzzahliger Bewertungen eines R-Körpers genügen existieren stets Folgen daß derart, was der abgesattigt sein, müssen, kein te dem man Konstruktion oder alternierender symmetrischer Vor allem aber kann sur Bewertungstheorie sondern die Sc,hritt weiter. Man kann in der Galois- von N über K p-Sylowgrappen definieren u.nd die Sylowsätze aus der Théorie der endlichen Gruppen auf G übertragen. Körpertheoretisch folgt daraus dann: Es gibt zwischen K und N fur jede Primzanl p stets körper D. Dièse ôind. allé kcnju.gi.ert. ? ist ùber K genau dann p-Sylowkörper, endiiche b) Jeder von Im Falle nun p-Gruppen: natürlich die naher K. ergibt sich, K &#x26; und P eine der p-Sylowkörper Beziehungen vor zwischen p-Potenz b) sich Allé daß kein Jeder ùber Tk: Bi N hat über - und a) einen durch p unteilbaren Grad von N mit gilt: sind aus zum ist Oberder Auflös- R-Korper. p-Sylowkörpern und Hensel- allem -fur aie p-Sylowkörper ein Henselkörper ist, da3 Henselkörper einen p-Sylowkörper enthalten kann. spi.elen Betrachtungen über Wertgruppen und von Be- aber auch umgekehrt kein Hier über p-Sylowkörpers ’? barkei t der endlichen korpern P Körper Q zwischen K eines Man wi:rd fur ihn zweierlei liber ? endliche Unterkörper Grad. Jeder körper wenn wertungen eine wesentliche Rolle. Im Falle N erhält man, wie J. Neukirch gezeigt hat ,ein ganz einfaches Resultat: Hier ist jeder Henselkörper gleich N. Die bewertungstheorie versagt also gewissermaßen, und es bleiben an nichttrivialen R-Körpern allein die von der Galoistheorie gelieferten p-Sylowkörper übrig. ~ « ~~ ~~,d~ Für Körper verwenden wir die Buchstaben K,L,M,N,P,Q,K,Z. Mit K bezeichnen N die algebraisch-separable Hülle "Grundkörper", mit wir stets den von K, also den Körper aller über K algebraisch-separablen Elemente. Sehr of wählen wir für N den Körper aller algebraischen Zahlen, für K einen beliebigen Unterkörper; K. bezeichnet in diesem Fall immer den Körper der rationalen Zaalen. G ist stets die Galoisgruppe von N über K. Wir versehen G mit der natürlichen Topologie, bei der die Umgebungen des Eins.d° Vav is.’ ) ~,s 1/ ~"~ 1~ fw ~ 4....d° ’~ C.ac.d .t f,! ~ 6i ,L d ~i. y’~ â É :.rt .‘’~t ~,! ~s .â V~f ~t ?~.s Ck YY !r~ Ç..m i,~ ~w ~ .~, ~t4E.~. ~u. f n ’&#x26;, "b e r ~~ ~ K endlichen, separablen Normaloberkörpern von K gehören. Es zerden nur topologisch abgeschlossene untergrupen von G betrachtet (bezeichnet mit ~é:~;.v..°’~f. e ~ s. ;f ~ ’‘,~’.~.~ t~~r~ , - i.~~:’~.,~ ~’~~.’’., ~y Untergruppen H von G and den Körpern L zwischen K und N umkehrbar eindeutig ist. G heißt p-Gruppe bzw. auflösbar, wenn für jede Umgebungsgruppe U ’ V i ~ 1 ~ ~ ; ~,fy.~ "Ç’^ e ~ ~f ,~5. ’-~’ ~ . . ~r-. i. ~.a -’~ ni "~~r’~ ~4i1..’ ~~‘~‘,~ iJ 4i. f t. "r~ . ~~ .f»e é. ~ yef,4,:’eë.ai ’ ‘~ ~ i =V ‘‘i .~t~.,~ ~c.~,~;.d f’Y. ~ i~~ ~ ~.r S’.’~ . . i d.. ~ .~. i .i~ ’Z !. ~ J[i 6.li ’,~.w:~. 4Y ~;, ’~’;~ ’~.3 . . ,L ~ 1 ~’~ p.° . 4. ~!lr.â.i ~° d.. .,~,p ~ ~ i f..: .t..., - r:...t. L. a~ ~ w ~°° t-o’ 4.a. ,j.e~ 2~ S4 ~~ ‘L ~ ,~ raâv. .j . L t’y 94’~~t. 7. ~ ~ ;r., r ~~.~ f~ ~,.b. J~.i~.~ .~~w,k ~..r~ -i- kw’ 4": .d^ lid .S h i.w .".,; ~ f. s~."J‘ : v..~,~a. ;, j ~ ,.a..~ ;’Y.~ t~ sr~ g i~..-" ~ ~j~ und daß der für unsere betrachtungen grundlegende Satz gilt: ’? .., ?’: a y- .-;» ,r~ f ..~ .. y, °i‘ ,~,~ Der Grundkörper K ist genau dann ein R-Körper im Sinne der Einleitung, wenn G auflösbar ist (1). Mit v (v1,...) tezeichmen zir die (einrangigen, also bei passender Normierung reellzahligen0 Bewertungen von N, mit N (N1,...) bzw. (1,...) den RestJ.~ ~~ ~,~" . E t.~ körper (Restklassenkörper) bzs. die Webbgrsppe von v (v.,...). "Verschiedene" pY S .w ~’ .,~. i,...d. ’~~ 1 ! ’~-‘, ~.’ : . s o‘ .... !~",‘ 6,? r’~; ., S : t ... f.i ~ l, _i ., .s. ,,.."... s .,Y, .à. ,:. ,". : i i.- .’’.. :: ~::." _ .. W h. t.r ’= t, - 3. Lf e ~ ..~ r~ !1 4 a ,r 6 1 ~a~.’ ‘ ~.J >, A .f.. ‘. _ Y ~..3 f’j a ’‘.p.. ...,r i~ ~ Bewertungen sind siegehören also zu verschiedenen Beserzungsringeg. Rewertungen eines Körpers L C N schreiben wir v1 (v1 ,...). Gehen wir von einer Bewertang v_K,j (v11...) von N .:. aus, so bedeutet v1 (v1,1,...) stets die einschrankung von v (v1,...) auf L . i Àl .. ; OJ -a . , ;..- ..... ’-.."......- ; ’--/.. -- ..- .~- ...;- %. :x ; - ...; tt > o * , , ~---.; ’ Den Reatkörper bzw. die Wertgruppe von v1 (v1,1,...) bezeichnen wir mit K1 (K1,1,...) bzw. 1 (1,1,...). (1) Vgl. [2]. b.! algebraischer Oberkörper über den Grad [0393m: 0393l) es von "" ’ soll,’ .»ie üblich, ’ Verzweigungsexpon von K, , 1 n-1 ritt g i7i e natùrii-°he ii 1 Torsionsgruppe darstell t. Ist speziell eine Abelsche algebraisch endlich Von aller Quotienten (also di-e Zahl) nâ T/ f7 gruppe .nd ~ abgeschlossene titille, Km eii; gehörige Divisionswährend 4à àïe zU g/_yL Q ࣠, so jst É SO soll iKm:KIJ bzw. Ki 2/F endlich, Km über Ki ’;.o=>...*. ie Ordnung von Ç/ r’i bedeuten, der Trägheits- b,,.y,. [i""m*.K1 ) iao-,;; (j"m* . Ç] li_ von ’~ ’bP*. v endlichem Grade :"i nz> ’~ "’ . i+ gpr;annt î>C : f j N ~ M ~ L werden. Ist d , liber besi tzt sQ auf Bewrtungv1urendlichvelFortsezung vm,1. vm,f jede M, und es gilt: (Gradungleichung Bei einer diskreten Bewertung zeichen, die Gradungleichung v, der Bewertungstheorie) . (1) immer das Gleichheitsstets xu.r Gradgleichung in von läßt sich also hier verschärfen(2). Wir setzen schließlich tests eine Ein p sed stets eine Wertgruppe r soll p-abgesättigt heißen, Kor.per K kein endlicher Ober- wen.n Í körper K’t bz/,.. keine endliche [K’:K] bzw. die gruppe mit der zugehörigen Divisionsgruppe 0394 , so gibt schiedenen Primzahl q wenn gleichzeitig ist, so K Zwischengruppe, q-abgesättigt p) bezeichnen. - Die gruppe derart daß der Crad durch p teilbar ist. Ist Ordnung stets eine kleinste ( Obergruppe r existiert,1 == daB bei N Bewertung jeder von L soll algebraisch abgeschlossen jeder Fortsetzung vm von v1 von p und ver- Zwischengruppe mit ist. Wir wollen dièse v- eine zwischen es die hinsichtlich r’ abgesättigt heißen, 1 und = au.f einen Zl Divisions- Oberkörper M von L immer Km = K1,genannt, m= 1 gilt. DerBewertungen Körper L selbst wird abgesättigt L bzw. fast abgesättigt wertungen von L mit Bei dem Körper N Es schließliche höchstens endlich aller Interesses steht, sind Bemerkung 1. wenn gibt bzw. alle Be- von vielen Ausnahmen algebraischen Zahlen, der im abgesättigt Vordergrund sind. des folgende Bemerkungen wichtig: nur Betrachtung (2) [1], Bd. allé 1, (1C a), einrangige Bewertungen solcher S 136 von N , so da6 die aus- Bewertungen keinerlei Einschränkung bedeutet. 2, (21.10), S. 76 Bemerkung 2. Grundkörper K. Der algebraische Zahlkörper und v. ist der es jedem zu der Charakteristik p stets Bewertung Ist Bemerkung 4 bzw. K-. (2)C... , algebraisch eine Folge mit einem vko fur jede Primzahlcharakteristik und abgesättigt hinsichtlich p, bel der s tets 1 rationalen Zahlen. von K~~C... K. - K~~C Be- Restkörper Körper L ~ N jedem Additionsgruppe nicht 1 endliche Primzahicharakteristik, von von jeder Bewertungen. diskret; bel jeder Bewertung ist bel Entsprechend absolut K1 stets eine imendiiche C Primkörper p g’eran. Aire (bel passender Normierung) (1) sind .(,# gibt zwar Ko von ein Restkörper abzählbar viele nur Allé Bewertungen vko Bemerkung 3* wertung besitzt der rationalen Zahlen sowie == so existiert P~~ [(n) : (n-1)]= r’ p bzw. C == l , )J p (n=1,2,~.). Bel Bemerku.ng 5* Huile N über K-, jedem Restkörper separabel JL ist die K1 algebraisch abgeschlossene und auflösbar. ~ Der wenn Körper L nur v. * wertung eine L Lemma 1. soll Henselkörper einzige Fortsetzung N C hinsichtlich der Bewertung ist, wenn überhaupt, besitzt. hinsichtlich einer .nu.r einzigen Be- v1 Henseikörper. Falls L nient abgesättigt ist, folgt späteren Lemma 7, aufdessen (sehr den. S. N auf v v- heißen, die Behauptung B einfachen) ist der Beweis bei 146). - wegen unbedenklich von tionsgemäß den fur uns vor aus Beweis wir nâher eingehen L n. Lemma 1ist unmittelbar allemdeswegen (vgl. [1], Dutziich, Bd. dem wer- 2, weilwir seinet- der ausgezeichneten Bewertung v eines Henselkörpers K ~ N bzw. von. der zu L in N gehorigen Bewertung v (nämlich der einzigen Fortsetzung von v1 auf N) reden du.rfen. Der Körper N ist définier ist auch zu Henselkörpern zu Henselkörper hinsichtlich jeder Lemmata formulieren bekannte Sätze Erweiterungen (vgl. dazu aus rechnen seiner Bewertungen. - 2, Kap. III). Die der Galoistheorie der bewerteter Körper in der fur Bd. ("uneigentlicher" Henselkörper); unsere Zwecke folgenden. algebraischen bequemen Form Zwischen Lemma 2. tung einen v v Fur und Wertgruppe Restkörper ~ ~ ~ ’ Lemma 3. N über K , der N Gruppe il t Ist K von Jf Grappe und vk gil t Restkörper z so ist J Erweiterung v von v auf T* separablen Elemente von N. Fur die der ausgezeichneten Kz N über T Abelsch, Charaktergruppe normale T über Bewertung und (Définition isomorph aise Bel ist der läßt sich zwischen T " v z einschalten. Charaktergruppe der Abelschen siehe § 1 ). Die Gruppe von N auflösbar. jedem Henselkörper Trägheitskörper T selbst ist genau dann ein wenn Z c N mit der ausgeein von v z der Restkörper K Kz heran, so ejn von v Z ist. Gruppe von E liber K z ist inséparable Elemente enthalten sollte. so der von N s Zieht man K . falls Bemerkung 5. von imn: À Ist len, Gru.ppe zur (p) von z ist die zwar "Verzweigungskörper V von ist "X von v /. z von so Man beachte: Die 1 des Rest-. Gruppe zur 2: § , der K Primzahlcharakteristik p, zeichneten Bewertung vz N über Kk . Restkörper von isomorph r.z == ist eine R-Korper aller der ausgezeichneten Bewertung v z ein"Trägheitskörper T von ist aller über K 1. Korollar zu Lem a 3 - 5. Z liber isomorph über i (p)/z Grappe über T über Gruppe Z s der Die der von v . T" Der dem Ist der Lemma 5. hinsichtlich der mit der normale von Charakteristik 0, N Bewer- "Zerlegungskörper Einschränkungen v,. z liber) 2 über Kz. Wertgruppen gil t Lemma 4. jeder zu auf sich selbst abbilden. v Henselkörper Z der von v gleich der Invariantenkörper die Zwischen den schalten. Die körpers der es Z , der Körper %ist ist. gibt . läßt sich von Henselkörper im üblichen Sinn, d.h. von von bestimmten kleinsten von v Automorphismen ist Grundkörper T und dem eindeutig Einschränkung über K " N Korper aller algebraischen Za.h- ç Jsf sind allé 2. Korollar.zu Lemma 3 - 5. abgesättigten Bewertung vz , zahlcharakteristik p und der ea Ist Z C N Henselkörper hinsichtiich der so besitzt der Restkörper K von v eine Primz ist die Galoisgruppe G von N über Z eine ’ ~ ’ ~~’ . Einschränkung vk der Bewertung Man beachte: Ist die körper K Tk, lich abgesättigt, Möglichkeit Z auch dann mit der zahicharakteristik p Charakteristik 0 Kk) von folgender Überlegung: die N von v rechnen, wenn in diesem Fall nicht (,wie == zu Möglichkeit Z ~ N Prim. bel vornherein ausge- von R-Körper spielt angesichts Bei dem Problem der Körper N 1. der Spezialfalles von Korollar ausgezeichnete Rolle. Hier aber liegt aller algebraischen Zahlen eine Körper K. der zwischen den es aus des größten über K. auflösbaren Körper M zu fragen. FUr M über M vorzugsweise nach rationalen Zahlen und N zuschalten und auf den Wichtigkeit abgesättigter Bewertungen ergibt sich Die schlossen werden. - nur ea N Zerlegungskörper "Z ist bel dem so v von ein- den aber gilts Lemma 6. Der größte K. über Beweisskizze: Mari betrachte zunächst den also den Körper M auflösbare Körper aller Einheitswurzeln. wurzelkörper folgt mühelos, daB bel größten über lich@ Zahl und JL es suB v v = 1 (a ~ va ~ (a) = 1 n M von M) , " . sein, Die der endlichen Einheits- von A " Wertgruppe der Rest- muË also auoh fur den Rest- Ist ferner so gehört Körper A. Abelschen jeder Bewertung gelten. abgesattigt. K. Ans der Théorie körper algebraisch abgeschlossen ist* Das gleiche körper jeder ist mit a ’ ’ n auch eine a beliebige zu ’ besteht also sicher von v "’ und aux all en rationalen Zahlen. Aus Lemma 6. foigt zunächst: Ist teristik ihres entweder Restkörpers. Tp > gleich N oder die Tatsächlich gilt, v Gruppe eine > 0, von Zerlegungskörper gleich N (3). Man feststellen, da6 . § 2 hatten wir ausgezeichnete Bewestung (3 ) Noch so N von N und p die Zerlegungskörper X’ über Z ist eine p-Gruppe. ist der Cher wic Herr J. Neukirch kürzlich bewiesen hat: allé In Bewertung kann also mit einem über M M sind gewissen Recht versa.gt. 3. uns vor X interessiert, allem fur v1 abgesättigt ist. Im deren allgemeinen Fall haben wir folgende Lemma, das L Henselkörper hinsichtlich v1, schiedene Bewertung v’1 von L abgesättigt. Ist Lemma 7. wurden Im Anschluß ar a) jeder Ist etwa von Jf werden soll? später gegeben dessen Beweis erst gelegentlich verschiedene jede von v1 Fragen aufgeworfen: die L , Körper abgesättigt sind, ein Henselkörper? b) Ist 3&#x26; Henselkörper hinsichtlich v1, ist so bel dem allé Bewertun- gen von Beide wir a) verschiedenen v1 Fragen une Der v1 diskret wenn Bewertungen von L abgesattigt sind leicht sind ? nötigen Beispielen beschränken vei’.neinen« Bel den zu während elle ist, Körper N aller algebraischen Zahlen. auflösbare Körperm ist kein R-Körper groBte über K. auf den mid damit auci, in § 2) Henselkörper. (Vgl. Spezialfall des 1. Korollars zu Lemma 3 -* 5 Aber M ist abgesättigt (Lemma 6. von § 2)... kein b) Man kann auf Grund eines allgemeinen Existenzsatzes unter Ausnützung der C K, C K, C . . von § 1 zu K. eine Folge algebraischen Zahlkörpern K; so konstruieren, daB Bemerkung 2. den aller v- auf L . 03B2) vabgesättigt Bedingungen. Es und damit auch ist ist von diskret, eine vk nur K. besitzt allé während sind. - Dann aber L Vereinigungskorper der kein von genügt 65 eine nur v1 (beliebig Eine folgenden Bedingungen genügt: 03B1) vorgeschriebene) Bewertung v. endlichen von einzige Fortsetzung verschiedenen Bewertungen Frage b) angegebenen den in Demi andernfalls besäße v1 Henselkörper. einzige Fortsetzung v N , auf sicher was zutrifft. Auf die der ein. Auch hinsichtlich des det, sei allgemeinen Existenzsatzes, sei auf die Literatur verwiesen angegeben, da unsere a.u gehen wir nicht (’); weiteren ein nur gebe es zu Bewertung K v1, 1,...,v1,N irgendwelche existiert stets ein da6 (~) einen Oberkorper K von v1 oder verschiedene ~ ri Oberkörper M von L der v.. genau > 1 Bewertungen von L , eine und Obergruppe wird. Sind d.ann L , von so mit der Ei- vom Relativgrade n n verschiedene . Fortsetzungen ° Bd. zu n besitzt. fiT!, dièses Salues ID n ~ 1 bsw. r~ auf M Spezialfall Grundlage bil- Überlegungen anknüpfen. Es sei v1 eine nichtabgesät igte zwar der die sofort,daß das Man sieht ist. Wendet leima das Kir die man Lemma ’7* eine unmittelbare Folge des Existenzlemmas Gradungleichung § von 1 erhält so dem Existenz- man zu M (i=1,..., N ) folgende Korollar: jede Fortsetzung einer der v v , JL ~ 2. auf ’ K . K, . ; F" . - f ’ = Bel der Frage b) zeigte der Beantwortung satz mit Nutzen auch da reicht, wegen so um zeigt die Existent merkwürdig sind, überraschenden sich, da6 schon das gewisser Körperfolgen weil hier man Erscheinungen man einem an rechnen muË, algebraischen Erweiterungen überschreitet. Ausnahmefälle Körper N Satz 1. vermeiden, beschränken wir zu L. L weder Ist abgesättigt nm handelt. die Konstraktion Verfolgt .ma.n diesen spezielle Existenziemma aus- die vor allem des- Beispiel sieht, mit was zu sichern, wenn man fur den Rahmen der endlichen gewisse praktisch uns im Folgenden wieder auf den noch Henselkörper, so gibt es stets eine die folgenden Bedingungen genügt: , zwei nicht abgesättigL mit L2 ist endlich algebraisch über ten Bewertungen v1o, o, v1o, 1 L2i+1 (i=1,2,...) ist ~....° ’ ~.~,1 ~.,1 2. . fast "- ~" dabei ist Um sich all,gemei.ne aller algebraischen Zahlen. Körperfolge L ~ L ~ L1 1. es wo Körpererweiterungen es daB der oben, a,ngewandt werden kann, ’von unendlichen algebraischen Gedanken weiter, sich abgesättigt, besitzt aber zwei "i....r - ~.,1 ! r~~,. q~~ die v 12i+1,1 (r-o.i) , ,. L2i+1. 3 L v~~ , ~1-- r (i=1,2,...) 2i fur die besitzt überabzählbar viele ~~~= K~~ ~ ~~~ ~~~~ ~~~ die Beweis: 1. Sei v1 eine nicht abgesâttigte Bewertung von der v1o,o noch 2. Es sei v1o, L2i auf und v1(a) fur i vo, v1 sein. auf von (a) . von v von kein L auf Dann sind die Ein- L. verschieden, 4 und es von § 1.) können we- Satz 1 bestimmt. Fur i = 0 1. Fur i > 0 sei eine L (Beachte Bemerkung 0 bereits im Sinn v12i,o irgend L . Da L v , Lo = und von ~~ . verschiedene Fortsetzungen abgesättigt Bewertung v1o,o , v1o,1 die v1 1 von 03C3 ~~ auf von v1o,o , v1o,1 = v Henselkörper ist, gibt es zwei mit N . Sei a 6 N vo(a) ~ schränkungen Fortsetzungen v1 v .i aus die Einschränkung der Reihe der v von Schließlich sei v(i)o Zornschen Lemma foigt die Existenz mindeste:ns L2i von vo(i) bzw. irgendeine Fortsetzung auf von N. Aua dem Obe:rkorpers L* daB die Einachr&#x26;nkung v(i)1*,o bsw. v1*,1 von gleiche Wertgruppe und den gleichen Restkörper be- mitder eines maximalen ’’1 die v1 auf L* sitzt wie v bzw. Aus dem Existenzlemma mid der Maximalität von v.. ~.~ ’’’~~~ ~?~ X ergibt sich welter sofort, daË allé von ~. und verschiedenen . Bewertungen v1*,o(i) *" L* abgesättigt von v12i+1,o , v1*,1 = v12i+1, 3. Es sei 1 L* = L2i+1 , setzen. für ein fastes i ~ 0 berei.ts bestimmt. Da.nn kann L2i+1 Berücksichtigung sind. Wir können aise man unter der Bemerkung 4 von § 1 anf Grund des Existenzlemmas und seines Korollars eine Körperfolge L(1) C L(2)C bilden, bel der jeder Körper L(k) über L(k-1) jeweils einen festen Primzahlgrad p L2i+1 = L(c) C hat, und bel der außerdem L(k) besitzt, die haben wie . per Korollar zu Satz 1. einigungskörper L Unterkörper (vgl. ’.’ pk verschiedene Fortsetzungen auf notwendig allé denselben Restkörper und dieselbe Wertgruppe Man überzeugt sich nun mühelos, da8 der Vereinigungskör- v12i+ ,1 L’ aller L(k) 1 immer genau ... v12i+ 1,1 einen Körper Ist die .IfJ des über L2i+2 Bewertung v, einer im Sinne L. Satz im Sinne von Sais von Sa tz 1. darstell t. L diskret, so ist der Ver- gebildeten Körperfolge Lk> gebildeten Zerlegungskörpers X 1 der Bewertung vi von 1. 2., S. 12), und es ist dabef die Einschränkung von v auf L(1) sicher nicht abgesättigt. Können wir also die Konstruktion eo einric:hten, daB se kein L(1) ~ Z1 ausfällt, Henselkörper, und wir können eine merkwürdige neue Körperfolge L(1) C L(1)o ~ L(1)1 ~ L(1)2 ~ ... im Sinne bilden. Hier erhebt sich demgemäß die Frage nach der Ex:istenz merkwürdigen Körperfolgen, wobei es Ordnungszahlen zu kommen, natürlich der Abzählbarkeit von N Untersuchungen vorliegen; Problems begnügen. Dagegen wenn sei noch kurz auf die wir die Beschränkung auf Satz 1 wohlgeordneten Interesse wâre, zu möglichst groBen innerhalb der 2. Zahlklasse, die man wegen von nient überschreiten kann. Da in dieser keine des von von müssen wir uns Richtung !loch mit dem Hinweis auf die Existenz Frage eingegangen, welche Komplikationen eintreten, dan Körper N aller algebraischen Zahlen fallen lassen. Wir haben im wesentlichen eine ungünstige Möglichkeit 2U berücksichtigen, nämlich die, daB in L nur solche nicht abgesättigte Bewertungen auftreten, bel denen die Wertgruppe die Gruppe der rationalen Zahlen, der Restkörper aber algebraisch abgeschlossen ist. Hier muB die Möglichkeit berücksichtigt werden, daË schon ein endlicher algebraischer Oberkörper von L abgesättigt sein kann. Im übrigen sind die 2;um von Charakteristik 0 und Beweis von nicht réelle aber zwar unwesentlich Satz 1. benutzten Schlüsse nur Bel der Konstruktion der L2i+1 wurde Körper modifizieren. zu Zornschen Lemma Gebrauch ge- vom macht. Es ist bemerkenswert, daB im Falle diskreter Bewertungen vly’) eine des passende Verallgemeinerung (v1 , v1, o , des Begriffes Zerlegungskörpers dièse Verallgemeinerung . anstelle des Zornschen Lemmas benutzt werden kann. Da soll s-ie kurz diskutiert werden. besitzen dürfte, seibstândiges Interesse Dabei kann N ein beliebiger, separabel-algebraisch abgeschlossener Körper sein. Einschränkung v der Bewertung v von N auf K diskret, X von v über K der Vereinigungskörper aller so ist der Zerlegungskörper der H ~ K , bei denen v. die gleiche Wertgruppe und den gleichen RestSatz 2 Ist die körper besitzt wie &#x26; Beweisskisze: Ist ein endlicher Normaloberkorper Z wie üblich definierte Zerlegungskörper Daraus schlie3t von E leic],it: Es man mit der in Satz 2. Sei Ke 3 *?’" ’ -" E’o ~ Ze . K jedenfal s Aus Satz 2. Satz 3. von - " " o von Z’e = dann ist -°’ ..~----~-«.» anwendbaren v,, 2 ist sowohl über [Ke:Kk]. [e:k], d.h. es ist Ze entha.lten ist. uber von v E ~ Z K. X °° ist der TL gleich 6 Aus der Galoietheorie der Diskretheit von E weiter: Der Grad ~ so jeder an.geg’ebeneu @ ergibt sich wegen der angesichts daB zu zeigen, ’ ’ ~ uber von v K , von aïs auch über Z’e gleich ~ Re . folgt sofort: M = { Es soi Bewertungen von beliebige, irgendwie indizierte Menge N , and es seien die Einschränkungen der v. k,f vf auf K alle diskret; Zf sei der Zerlegungskörper von vf K . Daim isi ZM = der größte Unterkörper K N 0152it der EigenZf von schaft, dajB bei jedem die gruppe und den Einschränkung vh,f gleichen Restkörper besitzt wie Angesichts Satz 3’ von wertungsmenge M man daim sofort aïs vf über ZM liegt es nahe, K su bezeichnen. Auf Verallgemeinerung von die die aïs den gleiche(diskrete) Wert- Einschränkung Zerlegungskörper der Be- Grund des Lemma 7: v Existenzlemmas erhält ( Satz 4. Ist M = and sind die Einschränkungen ZM Zerlegungskörper ( 1,1 , . v zM,i v1,...,vN} * . ; N) %v, eine endliche ( i=1, x,ù- , von M 4. zeigt insbesondere: Bei der Satz .. , 7£ über Bewertungen alle s N) alie abgesehen v zM zum Menge Bewertungen von diskret, den von .von sind bei ;iem so Einschränkungen abgesättigt. Beweis von Satz 1 * unter 2. benutzten L2i+1 gleich dem eindeutig bestimmten Zerlegungskörper beide iisfl4 m L v§"1 /v1 } über L2i , falls v12i,o(i) und v12i, Konstruktion wird der Menge mit der Diskretheit kret sind, (was für die also ein des 1 , von «i-= gleichwertig ist). praktische Brauchbarkeit Begriffes "Zerlegungskörper". unserer Andererseits muß Wir haben hier Verallgemeinerung aber beachten: Besteht man M aus mehr als einem Element, so ist ZM kein Henselkörper (vgl. Lemma 1.). gibt also stets mit Körperfolgen" Z, L. beginnende "merkwürdige Es = im Sinne vo; Satz 1 4. Angesichts Bewertungs theoretische Kriterien Satz 1 , von abgesättigt besteht, ein gegebener Es sei (z.B. (Z.3. nB ©in ei £, àer Daß diese Mög- 4, zeigen. Zunächst untersuchen Bewertungstheorie liefern kann, daß ist. Unsern Ausgangspunkt bildet Spezialisierungstheorie. 3$§ ein ganz mit mit aem dem Bewertungsring) ewertungsring) V°n Körper überhaupt die uns Lemma aus der Homomorphiesatz. Nicht-R-Körper e,j_ii - vt _ri ; sich in § Kô±per 111 allgemeines für o°v ein îg=>i; , welche Kriterien wir, à,j_é- ls,eg-t noch Henselkörper lichkeit durchaus ein .. R auf abgeschlossener Integritätsbereich ient enkörper Quot Quotientenkörper den Körper lgÎo ’ , J£ K , , der ein un und es es sei ein se1 separables Polynom j=:(±,1) aus R[x] auf das gleichfalls separable Polynom (x) aus K[x] abbildet: schließlich sei G bZ" G diÊ Jé "DIzW. K bzw. p(x) über * Galoisgruppe des Dann ist stets G Zerfällungskörpers zu einer von Untergruppe p(x) von çg isomorph. Korollar: È8 Sei algebraisch wenn ?(x) gleich von p(x) irreduzibel über JC von Primzahlgrad p und >i Primzahlcharakteristik. Daim ist G sicher nicht einen über K irreduziblen Faktor p noch ein Teiler von F(x) besitzt, auflösbar, dessen Grad p-i ist. / ve= eia- Denn unter den Untergruppe Bedingungen des Korollars besitzt G sicher eine der q und zyklische weiß, daß bel einer auflösbaren Gruppe, die sich aïs transitive Permutationsgruppe von p Elementen darstellen läßt, die Ordnung q stets gleich p oder ein Teiler von p-1 ist DaB Korollar fur eine bequeme Möglichkeit liefert, um ganzzahlige Polynôme mit nichtK = Ko auflösbarer Gruppe zu konstruieren, ist altbekannt. Untersuchen wir unter Beschränkung auf den Körper N aller algebraischen Zahlen, wo die Restkörper von man aller Bewertungen absolut Tragneite des Korollars genauer, Es sei der neten Primzahlen pi, den l&#x26;Ët, zu sei die denen sich Beweis: Es sei etwa pm müssen fur so allé Teiler kein von kein von Henselkörper ist, sowie und K1,n von Satz 1. nicht pn-abgeschlossen unter 1.). (wenn such nicht Durchschnitt S der ~ M pn-1 (sn). eine hier K kein aus dem R-Korper eine weder > 1 die Primzahlen Aus dor Voraussetzung, analoge daa beim v. , Bedingung aus dem L irreduzibles voR S auf in einen K . auf ein irreduziblen verschiedene Linearfaktoren zum Homomorphiesatz L und da- sein. die K fragen: Gibt von beim Beweise aber ein über Homomorphismus in -ar.d man Überlegung Bedingungen folgt .md von algebraischer Zahlkörper jeder die der M fin- grundiegende Bedeutung in § 2 hervorgehoben speziellen Existenzlemma): Es gibt sicher im Bewertungsringe folg.t insbesondere Natürlich wird . Bemerkung 4. von § 1 schließt man algebraischen Oberkörper von zerfällt. Es konn-te daher nach dem Korollar Kein endlicher n v desaen Grades und im Aus Satz 5. is t . I s t daim mit m mit auch Bewertung geord- aus Unter den angegebenen von Faktor aber kein Kensel- der nach wachsender Größe jedes p (vgl. ist p(x.) Primzahlgrad pn, das seinerseits über Kl, Polynom p(x) abgebildet wird, Polynom R-Körper, v1,m , v1 ,n , derart daß K1,m nicht pm- allgemeinen Existenzsatz, wurde Folge ein sein. p -1 leicht: Es g-ibt sicher einen und K folgendem Theorem: pi-abgeschlossen einelementig, p1,...,pn-1 zu jeweils mindestens deren Restkörper Kk,i nicht leer noch daß K kommen wir so algebraische Zahikörper ( p1,p2,... } = M körper. Primzahloharakteristik sind, die von .es M ist ein g-leich der Menge überhaupt unendliche Denn es ist aller Primzahlfolgen Satz 5 genügen? Die Antwort lautet: Ja.! Ist , M braucht so k = {p1,...,pn} eine n die Bedingung der arithmetischen und man Satz 5. karm noch etwas verschärft werden, die per sondern auch auf daË an p(x) auch dann noch gruppe von Sat2 6. zu der eine ein Bewertung Daim mûssen fur der K wenn zwar R-Körper v. mit q mit jede Restkörper aber kein nicht und die Folge Progression mn ein Glied verletzen. Der nicht auf die Restkör- nur allgemeine Existenzsatz zeigt, Satz 5. die Konstruktion des Polynoms von möglich ist, hat die wenn man pM-abgesättigt iet. Daraus v1,n Es sei zu Wertgruppen achtet. der entscheidenden Stalle 5’ genügende Primzahlfolge, aua Satz 5. von Satz von p . eine Primzahl (k=1,2,...) su 1 verlängert, ohne Bedingung fur man nur (p ,...,pn) + der der die Wert- Restkörper, aber nicht folgt sofort: p soi eine Henselkörper; Primzahl, p-abgeechlossenem Restkörper existiert. q ’> p , q-1 ~ 0(p) bei jeder Bewertung Wertgruppe q-abgeschlossen sein. Um einzusehen, daô die Bedeutung der Sätze 5* 6. nicht überschätzt werden 1. Sind bel dem Körper K die Restkörper aller Bewertungen darf, beachte man: algebraisch abgeschlossen, so können .vir aus dem Homomorphiesatz keinerlei BeEs iGt denkbar, daß K ein dingung fur die Wertgruppen ableiten. R-Körper ist, obwohl allé Einleitung betont, daB es K. beim diBkret der sein a,lgebraische-n Uber Bewertungen auflösbaren Körper M 2. Es wurde schon in R-Unterkörper dürfte, nicht K., aïs kleinsten des Körpers N sondem den Grundkörper zu aller größten wählen. Bei M Oberkörpern von M sind aber, wie schon früher hervorgehoben, allé Bewertungen abgesâttigt* Mit Kriterien, die sich auf die spezielle Natur ge- und allen wieser Restkörper oder Wertgruppen stützen, ist überhaupt nichts mehr fangen. 5~. Wir wenden =ç>-§/iagi£« rein wir die in gruppentheoretischen Betrachtungen, wobei den Vorbemerkungen bereits eingeführten Défini tionen mid Bezeichnungen bedefinieren wir neu: Die (abgeschlossene!) Untergruppe der fur jede p-sylowgruppe von G heißen, wenn der endlichen Gruppe G/U im Umgebungsuntergruppe U von G eine uns zu. H üblichen Sinne des Wortes darstellt. Genau wie bel den gelten dann folgenden Sylowsätze: die p-Sylowgruppen. Allé p-Sylowgruppen G besi tzt stets Jade die p-Untergruppe von p-Sylowgruppen die G ist in einer körper der p-Sylowgruppen beliebigen einer Es b) 7. a) Die Ein über sind also es ( ) von G den Invariantenkörper bezeichnen wir natürlich die Invarianten- Entsprechend wollen wir ~~..-.,~~~~~~ G einen von Allé nem’ien* Sylowkörper von uber K N P Körper K, wen.n N zwischen jeder endliche konn.en au ch charakterisiert werden aïs K. N über von K konjugiert. K sind über N über von die kleinsten p-Unterkörper c) p-Untergruppen konjugiert. dann: gilt Satz G. von G- sind in G enthalten, maximalen von N über K Als p-Sylowkörper von K und ist genau dann ein X Oberko:rpe.r p-U:n terkorper P über P von von p-Potenz eine aïs Grad besitzt. d) Ein wenn y p-Unterkörper P enthaltener, ein in N uber uber K endlicher von K ist genau dann eiD Korper L stets uber einen durch p unteilbaren Grad hat. e) Jeder p-Sylowkörper ist Der Beweis vou Satz 7. ein folgt sätzen und den R-Körper. leicht sache, daË die lichen separablen Normalobeskörper E czw. Beauptung richtig ist, Invariantenkörper e-iner wir, § 2 daß der P wird. Die W’lr!..4...uJ..e JJ man setzt. einer G sowie die Ta t- von und ans-telle N einen endvon p-Sylowgruppe Behauptang d) ist beachte man der triviale P den (endiichen!) da jede ab wieder,wie schon früher, auf den Körper N wir M = K aïs Grundkörper, se von algebraischen Zahlen. Wählen. per, und K anstelle d) und ist. uns wie schon in ? c) von wenn man p-Unt.er.grup,:e b2:w. uber Bei der von Galoisgruppe von E p-Gruppe auflösbar aller gruppentheoretischen Sylow- der Galoisschen Théorie. die Définition, der p-Untergruppe Wir beschränken den rein aus ist ohne sind als-o a.L so Einführung Henselkörper jeder Bewertung gleich N die K kleinsten e211S ven bekannten e anntf.:::n R-Kör- :":¿-Koy..", vorläufig ale vor.1.a..ul1g’ ei.ner bisher unbekannten völlig neuen Kon- zeption ausschließlich auf die Galoissche Théorie angewiesen, wenn man den bau von N über K = M weiter untersuchen will. Man wird etwa darar; denken, Aussagen über von N liber M (5) Vgl. hierzu die Normalisa toren der zu [2"! . gewianen, doch ist es p-Sylowgruppen völlig ungewiß, der was Auf- G fur einen N ein Versuch in dieser Erfolg Wählen wir K. dag’egen aïs Grundkörper, eo ist es eine nichttriviale Aufgabe, den Henselkörpern der Bewertung’en von und den Beziehungen zwischen die p-Sylowkörpern körper Z genauer einer ten. Man Es f 0 vp’ > a) b) gegebenen Bewertung auch B c) ’P p-Sylowkörper ist stets der p’ p’ gibt = endliche auf den von sich auch die von § Einschränkung v1 d) 7 dem eine Bewertung r mit des auf diskret ist, Oberkörper p-te.n Grades J&#x26; Fortsetzungen besitzt, P~Z L X in enthalten ausgeschlossen. ist die mi t . einer unter denen befinden mu6. Aus dem Korollar 3 folgt weiter, daB p’-Kôrper ist, so- ausgeschlossen. einen L folgt Grades besi tzt. Es ist also ist es P ~ R . mit p-Gruppe. identischen Automorphismus. p’ ist die Gruppe von N uber V H Grappe von PHr N über V.P p’ besteht aiso H stets in einer p-Sylowgruppe G enthalten. so N v’ mit von der A .Du.rch Bewertung wissen wir nach Satz 8 V’ körpers der von und eine det, § von ist daller. bekanntlich ein Gehen wir nicht von zu P ~Z auch vz es 3 gibt von v P und d.h. p-Körper, der Durchscnnitt einer p’-Gruppe von (über Ko) von Oberkörper beliebigen Existenzlemma und Satz 2. R vko genau p verschiedene sein muB. Nach Satz c) v oder p-Sylowkörper da6 N-ach dem Existenzlemma Fur p = sei es Vereinigungskörper R-P eiuen es für keine Primzahl p ein nur aus und Z ~ (P kann Aus der fort) daß Z Da dera Hensel- gleich N . Beweis: a 03B1) b) zweckmäßig, neben Verzweigungskörper Dann gilt: p~ (p zàm es ihren p’ Primzahlen, p NI’ keinen a 03B2) stu.d.ieren. Dabei ist zu dann: Satz 8. mit haben könnte. Richtung v’ wird aber die der c) : Es v’p > 0 , ist. auf sondern v einem gibt jedenfalls derart daß Satz 7 P V von a) gibt es P gegebenen p-Sylowkörper einen P’ Unterkörper des Verzweigungsferner einen Automorphismus A und selbstverständlich p auf sich selbst a.bbildet. auf den Bedingung vp > 0 Verzweigungskörper genügt, und aus V V’~ P’ einer Bewertung y. foigt v abgebil- D.h. aber, wir können Satz 8. ergänzen durch: Satz 8 d). mit vp > 0y Zu jedem p-SylowkörperP derart daß (P Unterkörper gibt des es (über Ko ) eine Bewertung Verzweigungskörpers V von v v ist. ~~.~~ ti K herein die beiden Möglichkeiten ~’~.:~ a e K = Ko = M und gestellt hatten. Man sieht sofort, daß Satz Ko dur ch in den Vordergrund 8. uneingeschränkt gilt, nde irge i n en Kör Le per wir wenn b e i d e m alle Be wertun r s e t z e n, ~~~~~,°~~i. ’ ge n diskr e t v1 sind, also insbesondere, wenn wir für K einen beliebigen endlichen algebrai s c hen Zahlkörper wählen. Lassen wi - r ferner die triviale~ ..,t. ü .4 .i....v.3.. k .l, .i~~ ~.~..i.‘w~.~ Möglichk 4a ,âl. V ei t ~.... tt N = zu, und fordern wir statt V ~ P nur V ~ P, so gelten die Behauptungen b), c), d) 3. offenbar ganz allgemein. Im übrigen wollen wir darauf von Satz verzichten, bei a) bis d) nach notwendigen und hinreichenden Bedingungen zu suchen,da es sich hier um eine verhältnismäßig nebeasäcoliche Frage handelt. i>,--eniliche algebraische ZahlDagegen 4 noch F ur:z ;=-af gewi sse :ç.;*i,i;’" spezielle körper hingewiesen, deren Wahl als Grundkörper durch Satz 8. nahegelegt wird. Untersuchungen zeigt jedenfalls, daß es sich Satz 8. bei den für ei ne feste Primzahl sätze mpfiehlt, imKreis der Sylow- p einersei ts die Menge al 1er p-Sylow- körper zu betrachten, andererseits die Menge 03C6p aller der Bewertungen v, die der r.: ,~ ~ ~ 4: ’ » t ~,. ..~ r ‘~~’"! =~.~. ’ ~’X~ ’.~ i. ~r.~. ~ ~ ~,: > ’,,’’a ~.~~ .f’l.~.:~ o ~~~’i?~’~~.~’,.~.‘~’~’~.c,~,~~~"~’.~’’~~ L,I tA. , ~,, ~ ^ 3^ "y,~ 4’‘; man fragen: Kann man nicht bei fest vorgegebenem p einen einfach gebauten algebraischen Zahlkörper 1 Mp angeben ", . Bei allen Bewartungen Ve r zweigungsk 2 . De±’-°’ Wir 1 . ö rp e r V ’ ~ v zu 03C6p fäl t samme ’’~’ ~ Der Bew is möge nur Ln,p , anged der durch dieMenge bei denen ,tt,~ f.r~ ~J,’1 tJ .i.~ ~i G ~ Z i..: , ’B mi t dem JV’ eu tet we rden: ~ s., INp . Dann 1=n1 ist Mp enthält Einhei tswurzeln Bei jeder Bewertung = n Polynoms Mp Mp gerade 7 ein * aller n-ten vp ~ 03C6p hat .‘ Zahlen, L v ~ algebraisch abgeschlossenen Restkörper wertung v genügt: ;, ’~o " à.. °-’ " körper p unteilbaren aturlichen dêr gewünschten Art normiert, daß de r Hensel 4 ~ Kৠ.y man: ’ " nun : gungskörper al er der aber weiß den Bedingungen n. pdieMngealerdurch Es sei IN 344 ’ "°°’ übe r Mp ~x~’.~~~~~~.,~~.~,.~’;z00FF~~~~"~~° "~ behaup ten Körper der den folgenden bei , ’+0 1 wird. Wei ter ergibt 03C6 p jedenfalls mit n ~ hat di e Verengung und die Körper den INp erzeug Von wird. v ep auf ~ Wertgruppe Z , falls sich ohne Schwi ~ p p einen man erigkeit: Bei j ~ so eder Be- diet J4 ~y .a.Verengung vmp auf Mp einen ‘ialgebraisch abgeschlossenen ’i~ i 1=il>= ~ i.4.3. , ’ r" ,r .w, ’~’r l ’ %"’ .... p " t,~ .J ,o. r~ ~ ,g a w p 26-21 Eigenschaften folgt aber Aus diesen beide:n gungstheorie fur v ~ nach den 03C6p sof rt: Z = V ~ N . Hauptsätzen der Verzwei- übrigen die V gleich dem Man ka.nn im ~ Aussage V ~ N Verzweigungskörper von v über nichts geändert. Es ist sogar noch wesentlich verschärfen: Ko , hat aiso hier die Doch soll auf den Bétels dieser 8. zichtet werden. Als Endergebnis unserer mit Satz können wir ein Es sind fur Program..m fur die jade Primzahl Weiterentwicklung p sowohl über mit Hilfe der Galoisschen Théorie die die zwischen den p-Sylowkörpern bestehen. (Bel aller der p-Sylowkörper, sind, bzw. über Ergänzungsbemerkung den die Lagerbeziehungen der R-Körpertheorie aufstellen: aïs auch über genauer Verzweigungskörpern an die in einem bestimmten Menge aller der K = K. ist ver- beginnenden Überlegungen Lagebeziehungen und den hier su der Aussagen gedacht untersuchen, Bewertung über die Verzweigungskörper Verzweigungskörper, K = Mp v ~ (?p Menge enthalten die einen bestimmten p-Sylowkörper enthalten.) 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