Résumé

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WIRTSCHAFTSPRÜFUNG
André Zünd, Wirtschaftsethik und Wirtschaftsprüfung
sichtsgesetz zeigt, dass die berufliche
Selbstbestimmung da eine Schranke
findet, wo das öffentliche Interesse tangiert wird und eine Aufsicht verlangt.
2.
2.1
3. Zusammenfassung
in Thesenform
1.
Die Wirtschaftsethik dient als Orientierungshilfe.
1.1 Die rechtliche Rahmenordnung
weist ethische Defizite auf, die
durch Ethik-Kodizes auszugleichen sind.
1.2 Kurzfristig mag ethisches Verhalten nachteilig sein, langfristig aber
schafft es Vertrauen. Ethisches
Verhalten ist daher eine Investition. Zur ihrer Realisierung dient
das Ethik-Management, das alle
Funktionen und Bereiche des Unternehmens berührt.
1.3 Das persönliche Ethos der Mitarbeiter ist die Voraussetzung für die
moralische Qualität des Unterneh-
2.2
2.3
mens. Die wichtigste Tugend ist die
Verantwortlichkeit, das Einstehen
für die Folgen des eigenen Handelns.
Die Wirtschaftsprüfung hat selber
zur Vertrauenskrise beigetragen.
Die Grundsätze prüferischen Vertrauens – Unabhängigkeit, Fachkunde und Sorgfalt – müssen wieder gestärkt werden. Dazu tragen
auch moralische Normen bei.
Schwerpunkte des prüfungsethischen Handelns sind Ethik-Beratung, Ethik-Audit als Sonderprüfung und die Berichterstattung mit
Management Letter bei Feststellung unethischen Verhaltens des
Prüfungskunden durch den Abschlussprüfer.
Das gegenwärtige Prüfungsumfeld
ist durch Übernormierung und
Überkommerzialisierung gekennzeichnet. Das Vertrauen in die
Wirtschaftsprüfung kann nur durch
einen Gesinnungswandel herbeigeführt werden. Die Wirtschaftsprüfung ist wieder als Beruf zu
sehen. Dabei müssen die Grenzen
der Berufsautonomie beachtet
werden.
Literatur
Kreikebaum, Hartmut: Grundlagen der Unternehmensethik, Stuttgart: Schäffer-Poeschel, 1996
(mit einem Literaturverzeichnis von 65 [!] Seiten).
Noll, Bernd: Wirtschafts- und Unternehmensethik in der Marktwirtschaft, Stuttgart/Berlin/
Köln: Kohlhammer, 2002.
Ulrich, Peter: Integrative Wirtschaftsethik.
Grundlagen einer lebensdienlichen Ökonomie,
3. rev. A., Bern/Stuttgart/Wien: Haupt, 2001.
Wirtschaftsethik und Wirtschafsprüfung, Forum
Wirtschaftsethik, 11. Jahrgang, Nummer 1, Februar 2003, Zürich, mit den Beiträgen:
– Dörner, Dietrich: Quo vadis Wirtschaftsprüfung? S. 4–7;
– Dreissig, Eberhard/Schmidt, Stefan: Die Bedeutung des Beratungsgeschäfts für die Qualität der Abschlussprüfung, S. 8–13;
– Lenz, Hansrudi: Sicherung der Unabhängigkeit des Wirtschaftsprüfers durch moralische
Normen? S. 14 u. 15, 18 u. 19.
Zünd, André: Revisionslehre, Zürich: Schriftenreihe der Schweizerischen Treuhand- und Revisionskammer, Band 53, 1982.
RESUME
Ethique économique et audit
Les questions d’éthique et notamment
l’éthique économique ont gagné en
importance ces dernières années.
Dans une première partie de son article, l’auteur présente l’éthique économique en général pour ensuite
aborder, dans un deuxième temps, un
domaine bien connu du lecteur et particulièrement sensible: l’éthique appliquée à l’audit. L’auteur distingue trois
niveaux: l’éthique structurelle (niveau
supérieur), l’éthique de l’entreprise
(niveau intermédiaire) et l’éthique individuelle (niveau inférieur).
L’éthique économique semble être
une sorte de substitut à la religion. Elle
sert d’orientation dans un monde en
manque d’instances morales. Les entreprises sont devenues des acteurs
(«players») éthiques. L’éthique structurelle concerne le cadre juridique.
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Elle est située au niveau de l’Etat et
au-dessus des entreprises. Les deux
niveaux souffrent de déficits à combler par un code d’éthique de l’entreprise. A première vue, un comportement éthique peut sembler préjudiciable; à long terme toutefois, il
génère la confiance. Un tel comportement est donc synonyme d’investissement. Pour le réaliser, il est nécessaire
de mettre en place une gestion de
l’éthique, composée des niveaux suivants: code éthique, stratégies éthiques, organisation, controlling et audits éthiques. L’éthique personnelle
des collaborateurs est la condition
pour la qualité morale de l’entreprise.
L’audit est confronté à une crise de
confiance dont il est en partie responsable. Les principes de la confiance en
la révision – indépendance, profes-
sionnalisme et diligence – doivent être
renforcés. Les normes morales y contribuent également. Les activités principales d’une révision de l’éthique
sont: le conseil éthique et l’audit
éthique en tant que contrôles spéciaux
et le rapport ainsi que la lettre de recommandations dans le cas de comportement dépourvu d’éthique du
client audité, constaté lors de l’audit
des comptes annuels. L’environnement de l’audit se distingue actuellement par une surréglementation et
une commercialisation à outrance. La
confiance dans l’audit ne peut être rétablie que par un changement de mentalité. L’audit doit de nouveau être
considéré comme une profession tout
en respectant les limites de l’autonomie professionnelle.
AZ/AFB
L’Expert-comptable suisse 1–2/05
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